Série « Me ne frego »

Les forêts brûlent, les lacs et les rivières s’assèchent, la terre se désertifie, les déchets plastiques colonisent les eaux tandis que les marées noires envahissent les océans et les terres. Plus rien n’échappe à la pollution.

La série « Me ne frego » illustre la détérioration de l’environnement par des scènes d’une ironie mordante. Forchino représente des corps de baigneurs singuliers, à la fois attachants et détestables, profitant de leur temps libre au milieu de l’écocide annoncé.

Me ne frego, 2019

Représentation des
marées noires sous un
angle qui oscille entre
comique et tragique.

Impassible, 2019

Le regard impassible
d’un observateur face
à la pollution de l’eau.

Celsius, 2020

48,9 °Celsius,
c’est la température
extrême atteinte le
4 janvier 2020 dans
les environs de Sydney,
lors des feux de forêt
qui ont dévasté l’Australie
cette année-là.

Ne faites pas de vagues, 2019

Dépeint l’attitude
insouciante d’un
baigneur plongé
dans une mer
de déchets plastiques.

Bain de soleil
au lac d’Aculeo, 2019

Le lit sec
et craquelé du
lac chilien d’Aculeo,
lieu de loisirs estivaux
il y a quelques années
encore, illustre le
problème alarmant de
la désertification et
de la dégradation
des sols.